Composées de plusieurs bâtiments, sous une configuration en forme de « U », en carré ou en « L », regroupant logement, écuries, étables, granges, poulaillers, les fermes constituent un élément majeur du patrimoine percheron.
L’ARCHAGE - maison appelée vulgairement la Recharge, ancien fief de Michel Le Conte , seigneur de l’Archage, en 1656.
1856 : 1 maison, 1 ménage, 8 habitants.
L’AUNAY - maison
1856 : le grand AUNAY :1 maison, 1 ménage, 7 habitants.
le petit AUNAY : 1 maison, 1 ménage, 5 habitants. (maison disparue).
BELLEVUE - ferme aujourd’hui disparue.
1856 : 1 maison, 1 ménage, 7 habitants.
La grande BIZOLIERE – ferme puis maison ayant appartenue, soit par suite d’acquêts, soit par suite de legs ou donations, à l’Hôtel Dieu de Nogent le Rotrou , jusqu’à la Révolution Française, date à laquelle elle fut confisquée et vendue.
1856 : 1 maison, 1 ménage, 8 habitants.
La petite BIZOLIERE - maison
1856 : 1 maison, 1ménage, 2 habitants.
Le BOIS ROBIN – maison isolée
La grande BORDE - hameau d’habitation tenant son nom du ruisseau des Bordes ou ruisseau de Coutretôt, appelé la Borde.
1856 : 10 maisons, 11 ménages, 31 habitants.
La petite BORDE - hameau d’habitation
1856 : 4 maisons, 5 ménages, 13 habitants.
La BOULAYE - ferme
1856 : 1 maison, 1 ménage, 4 habitants.
La BOURDINIERE - ou Les BOURDINIERES - maison isolée
1856 : 1maison, 1 ménage, 4 habitants.
Le grand CHAINVILLE ou CHAINVILLE d’en haut - Hameau d’habitation
1856 : 10 maisons, 11 ménages, 35 habitants.
CHAMPEAUX - ferme. Ancien fief en 1624 de Gilles Chevalier, seigneur de Champeaux, de la Mairie et de Queux.
Autour de la ferme, s’est constitué jusqu’en 1853 un vaste domaine, propriété de L’Hôtel Dieu de Nogent le Rotrou. Ce domaine était de 66 hectares et s’étendait jusqu’à la ferme de la Recharge (aujourd’hui l’Archage).
1856 : 2 maisons, 2 ménages, 18 habitants.
Le COLOMBIER – (ferme aujourd’hui disparue).
Propriété de l’Hôtel Dieu de Nogent le Rotrou de 1456 à 1789.
1856 : 1 maison, 1 ménage, 5 habitants
La COUR aux BEZARDS - hameau
1856 : 2 maisons, 2 ménages, 4 habitants.
Les COURS - maison
1856 : 1 maison, 1 ménage, 9 habitants.
La DONNAISIERE - hameau d’habitation
1856 : 4 maisons, 4 ménages, 13 habitants.
Trois bâtiments sur cour commune avec la présence d’un puits.
FAUCHET ou FAUCHER - ferme
1856 : 2 maisons, 2 ménages, 8 habitants .
La FONTAINE - hameau d’habitation les Fontaines.
1856 : 2 maisons, 2 ménages, 8 habitants.
La GADELIERE – manoir
Les terres de la Gadelière ont appartenues à L’Hôtel Dieu jusqu’à la Révolution Française.
1856 : ferme : 1 maison, 1 ménage, 7 habitants.
La GLAIRIE ou La GLAIRERIE (maison isolée aujourd’hui disparue).
1856 : 1 maison, 1 ménage, 3 habitants.
Les GROIES ou Les GROYES ou Les GROAS - maison dont le nom vient de groe ou groa (lieu, champ entouré d’une haie)
Ferme ayant appartenue, soit par suite d’acquêts, soit par suite de legs ou donations, à l’Hôtel Dieu de Nogent le Rotrou, jusqu’à la Révolution Française, date à laquelle elle fut confisquée et vendue.
1856 : 1 maison, 1 ménage, 7 habitants..
GUENEAU - hameau aujourd’hui disparu.
1856 : 2 maisons, 2 ménages, 9 habitants.
La GRANDE LEU - ferme autrefois appelée les Leux (les loups) divisés aujourd’hui en Grande et Petite Leu.
1856 : 1 maison, 1 ménage, 9 habitants.
La PETITE LEU - maison
1856 : 1 maison, 1 ménage, 2 habitants.
Attenants à la maison : un four à pain et un poulailler.
La Grande MAIRIE - ferme. Ancien fief de Paul Chevalier, seigneur de la Mairie et de Queux en 1663. Maison à un niveau flanquée d’une tour carrée.
1856 : 1 maison, 1 ménage, 9 habitants.
La Petite MAIRIE - ferme
1856 : 2 maisons, 2 ménages, 7 habitants.
MIERMAUX -.
1856 : ferme : 1 maison, 1 ménage, 6 habitants.
Les Grands NOYERS - hameau
1856 : 10 maisons, 10 ménages, 31 habitants.
Les Petits NOYERS - maison isolée (fenêtres du XVI eme siècle).
1856 : 1 maison, 1 ménage, 2 habitants.
Le Grand ORGEVAUX - maison
1856 : 1 maison, 1 ménage, 6 habitants.
Le Petit ORGEVAUX - maison et lavoir
1856 : 1 maison, 1 ménage, 4 habitants.
Le PIED de la BRUYERE - hameau d’habitation.
1856 : 4 maisons, 4 ménages, 15 habitants.
Le PLESSIS - manoir
1856 : maison et ferme : 2 maisons, 2 ménages, 7 habitants.
La PLUMETIERE - maison
1856 : 1 maison, 1 ménage, 4 habitants.
POUPET - ferme
1856 : 1 maison, 1 ménage, 7 habitants.
La POUSSERAYE - hameau. Ancien fief de Bonnaventure Courtin, seigneur de la Pousseraye, du Petit Plessis et de la Vieille Cour vers 1630.
1856 : 2 maisons, 2 ménages, 16 habitants.
QUEUX - ferme, vulgairement appelée la Queue. Ancien fief de Paul Chevalier, seigneur de la Mairie et de Queux.
1856 : 2 maisons, 2 ménages, 8 habitants.
La RIGAUDIERE - maison isolée. Ancienne seigneurie de la Rigaudière en 1559.
1856 : 1 maison, 1 ménage, 8 habitants.
Les ROUCHERETS - maison. Vient du mot rouche (roseau). Ancien fief seigneurial en 1706.
1856 : 1 maison, 1 ménage, 12 habitants.
La SORIE - ou la Saurie, la Sohorie, la Soorie. Le dictionnaire géographique de l’Eure et Loir donne comme étymologie le mot Saure (filet pour la pêche) ; il semble plus probable que c’est le mot scorie, ce qui s’explique par la quantité de débris de minerais de fer, amenés au fourneau établi primitivement en ce lieu. Ancien fief seigneurial en 1639.
1856 : ferme et moulin :1 maison, 1 ménage, 7 habitants.
Moulin aujourd’hui disparu.
TOUCHEBERT - alias Louschebert en 1590 et l’Ouschebert en 1610. Ancien fief relevant de la Soublière ( La Gaudaine) en 1610.
1856 : 1 maison, 1 ménage, 4 habitants.
Les TOUCHES -. Ancien fief relevant de la châtellenie de Montdoucet, en Souançé en 1610 ( François des Feugerets)
1856 : ferme : 1 maison, 1 ménage, 6 habitants.
TREMONT -. Ancien manoir des seigneurs de Coutretôt.
1856 : ferme : 1 maison, 1 ménage, 10 habitants.
TREMONT - château construit en 1841.
La VALINIERE - alias La Valisgnière - hameau d’habitation.
1856 : 7 maisons, 7 ménages, 28 habitants.
Les VALLEES - alias la vallée ou la petite vallée. Maison isolée.
1856 : 1 Maison, 1 ménage, 3 habitants.
Le VAU - alias les Vaux ou le Veaux. Maison isolée.
1856 : ferme : 2 maisons, 2 ménages, 13 habitants.
La VIEILLE COUR -. Ancien fief de Bonnaventure Courtin, seigneur de la Pousseraye, du Petit Plessis et de la Vieille Cour vers 1630.
1856 : ferme : 1 maison, 1 ménage, 5 habitants.
La VOIE alias la Voye- Hameau d’habitation.
1856 : 3 maisons, 3 ménages, 9 habitants.